A l’heure où, de nouveau – avant le prochain sommet -, l’on nous fait miroiter les possibles « résolutions » internationales qui suivront ces « rencontres climatiques » hypermédiatisées, j’appuie encore cette analyse que rien, jamais, même en situation apocalyptique, ne sortira de ce spectacle politique.
Seul un discours dénonçant le subterfuge a donc du sens. Tout le reste n’est que palabre.
Les articles que j’avais publiés lors du sommet de Copenhague sont ainsi toujours d’actualité. Autant ne rien écrire de nouveau.
– http://www.gresea.be/spip.php?article838
– http://www.gresea.be/spip.php?article837
Changez, dans le titre, « Copenhague » par la ville qui accueille et accueillera les prochains sommets.
A.P.